Forces spéciales, de Stéphane Rybojad
15/12/2011
Forces spéciales, de Stéphane Rybojad, est un film de propagande assez grossier (novembre 2011) : En Afghanistan, Elsa Casanova, grand reporter, est prise en otage par les talibans. Devant l’imminence de son exécution, une unité des Forces Spéciales est envoyée pour la libérer.
Pour les critiques de gauche, c’est un film militariste et réactionnaire, à la gloire de l’armée française. Mais le jour où un gauchiste comprendra quelque chose au monde contemporain, ce sera alors un faf, et non une bouse de gauchiste.
En réalité, que voit-on dans ce film ? On y voit très classiquement une armée multiraciale (l’armée française), qui s’oppose victorieusement à une armée ethniquement homogène défendant son territoire (en l’occurrence, les talibans). A partir de là, on peut être quasiment certain d’avoir affaire à un réalisateur juif.
Et effectivement, en lisant un entretien avec le réalisateur sur le site premiere.fr, on s’aperçoit que celui-ci, qui se défend bec et ongle contre les attaques des critiques de gauche qui n’ont vu en lui qu’un facho, avoue à la fin de son entretien :
« Je suis un Parisien, soi-disant intellectuel de gauche, juif de surcroît, et j'arrive dans l'univers de l'armée, où il n'y a soi-disant que des gros cons et des fachos. J'y ai passé du temps et j'ai découvert des valeurs humaines. On peut massacrer le film autant qu'on veut, je m'en fous, mais ne massacrez pas les valeurs humaines. »
Voilà : ce réalisateur médiocre qui se fait traiter de facho par les crétins de gauche est en réalité un petit fumier de ... qui envoie nos soldats se faire trouer la peau en Afghanistan pour le compte d’Israël.
On se consolera en pensant que son film a fait un flop.
Quand nous serons redevenus maîtres chez nous, nous livrerons cet individu pieds et poings liés aux Talibans, qui sauront bien quoi faire de lui. On le voit déjà en train de hurler aux "droits de l'homme" : "Ne massacrez pas les valeurs humaines !!"
On connaît la musique : quand un juif défend Israël, il prétend défendre toute l'humanité. Déjà, Freud projetait les problèmes de sa communauté sur "l'humanité", avec son complexe d'Oedipe foireux. Mais ça, on l'a déjà dit. ca tourne en rond, ce truc !
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