23/10/2014
LES MILLIARDS D’ISRAËL, Escrocs juifs et financiers internationaux. Entretien avec Jérôme Bourbon
Entretien paru dans l'hebdomadaire Rivarol du 9 octobre 2014.
Jérôme Bourbon : Hervé Ryssen bonjour. Vous venez de faire paraître votre nouveau livre… Les Escrocs juifs… Une fois de plus, vous mettez le doigt “là où ça fait mal”, comme on dit.
Hervé Ryssen : Je passe d’abord le bonjour à tous mes lecteurs de Rivarol. Je n’oublie pas que Rivarol et (avec la revue Réfléchir et Agir), le seul journal qui m’a soutenu depuis le début, en 2005. L’étude que je publie aujourd’hui était nécessaire. J’ai déjà abordé le sujet des grandes escroqueries dans mon livre de juin 2008 sur la “Mafia juive”, mais les records en la matière ne cessent d’être pulvérisés, au point que les affaires précédentes paraissent relever d’une autre époque.
Jérôme Bourbon : Il y a eu depuis l’affaire Madoff…
Hervé Ryssen : Oui, entre autres. Madoff est le maître d’œuvre de la plus grosse escroquerie de tous les temps, puisque que ce sont 20 milliards d’euros ont disparus (50 milliards en comptant les intérêts qui auraient dû être versés). Après l’arrestation de Madoff, en décembre 2008, tous les gros goys comme moi s’étaient réjouis de voir que de nombreuses associations communautaires juives y avaient tout de même laissé des plumes. Le cinéaste Steven Spielberg, avec ses films de propagande (Indiana Jones, La Liste de Schindler, Il faut sauver le soldat Ryan, etc.) prétendait avoir subi de lourdes pertes ; et de son côté, la fondation Elie Wiesel affirmait avoir perdu la presque totalité de ses avoirs. Cinq ans plus tard, on voit maintenant que tout ce cirque médiatique était de la poudre aux yeux qui n’avait d’autre fin que de détourner la colère du goy. Grâce aux enquêtes qui ont été réalisées pour indemniser les victimes, on sait maintenant quels ont été les vrais bénéficiaires de cette gigantesque escroquerie pyramidale. Allez, je vous donne une piste : ils ne sont ni Bretons, ni catholiques !
J. B. : On n’a pas beaucoup parlé dans les grands médiats, en revanche, de l’escroquerie à la taxe carbone. Les journalistes se font très discrets sur cette affaire.
H. R. : C’est la plus grande escroquerie en bande organisée de tous les temps, puisque entre 5 et dix milliards d’euros ont été dérobés dans les caisses des principaux États européens. En France, tout s’est déroulé entre avril 2008 et juin 2009, jusqu’à la suppression de la taxe carbone. Pour faire court : des quotas étaient attribuées aux entreprises polluantes (production électrique, papetiers, cimentiers, etc.) ; celles qui faisaient des efforts sur l’environnement pouvaient revendre leurs quotas à celles qui polluaient plus. Ces quotas avaient été considérés par les têtes d’œufs de Bruxelles comme une matière première (zinc, cuivre, blé), et donc soumise à une TVA (taxe sur la valeur ajoutée). Mais pour complaire aux écologistes, tout citoyen engagé était supposé s’approprier une part de ce marché. Ainsi, il suffisait de s’inscrire sur le registre (quelques milliers d’euros), et n’importe quel margoulin pouvait acheter et vendre ces quotas sur le marché européen. Au Danemark, il suffisait d’une photocopie d’une pièce d’identité trafiquée ! C’est ainsi qu’une myriade de petites sociétés bidon avec des prête-noms à leur têtes ont acheté hors taxe en Union européenne (Maastricht oblige) des quotas vendus TTC en France, avec 20 % de bénéfice en quelques minutes. La France y a laissé environ deux milliards d’euros, qui doivent être aujourd’hui sur des comptes bancaires en Israël.
J. B. : L’affaire du CO2 (carbone), semble-t-il, n’a débouché sur aucun procès. Avez-vous des informations à ce sujet ?
H.R. : Si, il y a bien eu un petit procès : celui de Fabrice Sakoun, à la mi-janvier 2012. Il a comparu libre à l’audience, ce qui fait qu’il a disparu juste avant le verdict. Il est probablement aujourd’hui en Israël, en train de déguster son jus de sang palestinien au bord de sa piscine. Je dis “probablement” car tous les escrocs juifs se réfugient en Israël, où ils sont sûrs de l’impunité. L’État d’Israël, en effet, n’extrade pas ses ressortissants. D’autres protagonistes de l’affaire de la taxe carbone qui avaient été appréhendés par la police française ont été curieusement relâchés. Le fait est qu’à Paris comme à Lyon, les escrocs séfarades semblent bénéficier de complicité dans la police et dans la justice. Le numéro un de la police lyonnaise, le fameux commissaire Neyret, fréquentait assidûment cette pègre ; et il a été remis en liberté en mai 2012, après seulement huit mois de détention ! Moi qui me suis pris cette année deux mois ferme pour une blague sur Bertrand Delanoë, et encore un mois ferme pour le simple port d’une bombe lacrymogène. Mais passons… Depuis janvier 2014, un plus gros poisson est sous les verrous : il s’agit de Cyril Astruc, alias Axel Khann. Les autres dossiers sont toujours à l’instruction. La seule certitude est qu’il n’y aura pas de grand procès, comme pour les deux affaires du Sentier. L’affaire est tellement énorme, et tellement séfarade, que la justice française a cette fois préféré la découper en tranches, afin d’éviter un procès spectacle qui aurait braqué les projecteurs sur la communauté juive – une communauté, comme chacun sait, appauvrie par la crise et déjà suffisamment éprouvée par l’antisémitisme !
J. B. : Quelles sont les autres escroqueries qui ont retenu votre attention ?
H. R. : L’escroquerie dont on parle le plus en ce moment est celle dite aux “FOVI” : aux faux ordres de virements internationaux. On l’appelle aussi “escroquerie au président”. Les escrocs commencent par collecter le maximum de renseignements sur une entreprise, puis appellent au téléphone un responsable comptable ou financier d’une filiale en se faisant passer pour le président en personne. L’homme imite parfois la voix du président, envoie un faux courriel avec la bonne adèle (adresse électronique) pour confirmation, demande à son interlocuteur – trop honoré – de garder le secret (il s’agit d’un OPA qui doit rester secrète !). La victime s’exécute et vire l’argent sur un compte bancaire à Hong-Kong, au Panama ou à Tbilissi. C’est ainsi que des centaines d’entreprises françaises ont été délestées de plusieurs centaines de milliers, voire de millions d’euros. Depuis le début de cette année 2014, les tentatives de ce type ont explosé ; ce qui fait que la presse économique alerte régulièrement ses lecteurs sur ce problème, mentionnant parfois l’État d’Israël. Mais – il faut le dire – cette escroquerie est, une fois de plus, uniquement le fait de juifs séfarades habitant dans l’État hébreu (le pays cher à Aymeric Chauprade). La France est pour le moment le seul pays à être touché, du fait que les escrocs sont des juifs francophones. Je pourrais aussi vous parler des faux encarts publicitaires, des bonimenteurs de marchés, des techniques de vente de certains marchands de meubles. Il y a aussi les escroqueries à la mémoire… Mais là, je sens que les lecteurs de Rivarol ont une petite idée sur l’art et la manière qu’ont certaines personnes pour faire du fric avec de simples bobards !
J. B. : Parlez-nous plutôt de la finance internationale, puisque c’est la deuxième partie de votre sous-titre. Ça nous évitera un procès !
H. R. : Soit ! Vous avez raison mon cher Jérôme, évitons les sujets qui fâchent ! Eh bien voilà. Il se trouve que je ne suis ni économiste, ni financier ; mais, à force de travail, il me semble avoir élaboré une petite synthèse sur la crise financière de 2008 qui risque d’en laisser pantois plus d’un. Je n’ai fait évidemment que synthétiser des ouvrages sur la question. Pour faire court, disons simplement qu’à la base de la crise financière de 2008, il y avait des petits courtiers peu scrupuleux (la profession ayant été déréglementée aux États-Unis) qui accordaient des crédits immobiliers à toute sorte de gens modestes, tandis qu’en haut de la pyramide, les grandes banques de New York “titrisaient” ces crédits immobiliers pourris qui étaient notés “triple A” avant d’être revendus à des banques allemandes ou des fonds de retraite coréens. Vous verrez, c’est très simple à comprendre, et très amusant ! Hélas, mille fois hélas !, ce sont encore souvent des pauvres juifs persécutés qui sont les principaux instigateurs de cette catastrophe financière. Mais, comme je le dis et le répète dans le livre, si les juifs jouent un rôle moteur, ils ne sont pas les seuls à être impliqués : maints et maints goys les ont suivi dans leur sillage. Le fait est que la fièvre accumulatrice qui règne à Wall Street a déteint par contagion sur bien des esprits – et notamment sur l’esprit des protestants calvinistes anglo-saxons, il faut le dire.
J. B. : Traitez-vous dans votre livre le cas “Goldman Sachs” ?
H. R. : La Goldman Sachs s’en est bien sorti. C’est d’ailleurs la seule des grandes banques new yorkaise qui est parvenu à s’enrichir pendant cette crise. Ses principaux dirigeants avaient concocté pour leurs clients des produits financiers “aux petits oignons” qui laissent une saveur particulièrement agréable pour le lecteur… et particulièrement amère pour les pauvres goys qui les ont achetés !
Hervé Ryssen, Les Milliards d’Israël, 336 pages, 26 € +2 € de port (8 € pour les dom-tom). Chèque à l’ordre de LALIN, 14 rue Pierre Brossolette, 92300 Levallois. Ou commandez le livre à Rivarol.
Les autres livres d’Hervé Ryssen : Les Espérances planétariennes 2005, 432 pages, 26 € ; Psychanalyse du judaïsme 2006, 400 pages, 26 € ; Le Fanatisme juif 2007, 400 pages, 26 € ; La Mafia juive 2008, 400 pages, 26 € ; Le Miroir du judaïsme 2009, 400 pages, 26 € ; Histoire de l’antisémitisme 2010, 432 pages, 26 € ; Le Racisme antiblanc 2011, 320 pages, 20 € ; La Guerre eschatologique 2013, 192 pages, 20 €.
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