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23/10/2014

LES MILLIARDS D’ISRAËL, Escrocs juifs et financiers internationaux. Entretien avec Jérôme Bourbon

Entretien paru dans l'hebdomadaire Rivarol du 9 octobre 2014.

 

Jérôme Bourbon : Hervé Ryssen bonjour. Vous venez de faire paraître votre nouveau livre… Les Escrocs juifs… Une fois de plus, vous mettez le doigt “là où ça fait mal”, comme on dit.

Hervé Ryssen : Je passe d’abord le bonjour à tous mes lecteurs de Rivarol. Je n’oublie pas que Rivarol et (avec la revue Réfléchir et Agir), le seul journal qui m’a soutenu depuis le début, en 2005.  L’étude que je publie aujourd’hui était nécessaire. J’ai déjà abordé le sujet des grandes escroqueries dans mon livre de juin 2008 sur la “Mafia juive”, mais les records en la matière ne cessent d’être pulvérisés, au point que les affaires précédentes paraissent relever d’une autre époque.

 

Jérôme Bourbon : Il y a eu depuis l’affaire Madoff…

Hervé Ryssen : Oui, entre autres. Madoff est le maître d’œuvre de la plus grosse escroquerie de tous les temps, puisque que ce sont 20 milliards d’euros ont disparus (50 milliards en comptant les intérêts qui auraient dû être versés). Après l’arrestation de Madoff, en décembre 2008, tous les gros goys comme moi s’étaient réjouis de voir que de nombreuses associations communautaires juives y avaient tout de même laissé des plumes. Le cinéaste Steven Spielberg, avec ses films de propagande (Indiana Jones, La Liste de Schindler, Il faut sauver le soldat Ryan, etc.) prétendait avoir subi de lourdes pertes ; et de son côté, la fondation Elie Wiesel affirmait avoir perdu la presque totalité de ses avoirs. Cinq ans plus tard, on voit maintenant que tout ce cirque médiatique était de la poudre aux yeux qui n’avait d’autre fin que de détourner la colère du goy. Grâce aux enquêtes qui ont été réalisées pour indemniser les victimes, on sait maintenant quels ont été les vrais bénéficiaires de cette gigantesque escroquerie pyramidale. Allez, je vous donne une piste : ils ne sont ni Bretons, ni catholiques !

 

J. B. : On n’a pas beaucoup parlé dans les grands médiats, en revanche, de l’escroquerie à la taxe carbone. Les journalistes se font très discrets sur cette affaire.

H. R. : C’est la plus grande escroquerie en bande organisée de tous les temps, puisque entre 5 et dix milliards d’euros ont été dérobés dans les caisses des principaux États européens. En France, tout s’est déroulé entre avril 2008 et juin 2009, jusqu’à la suppression de la taxe carbone. Pour faire court : des quotas étaient attribuées aux entreprises polluantes (production électrique, papetiers, cimentiers, etc.) ; celles qui faisaient des efforts sur l’environnement pouvaient revendre leurs quotas à celles qui polluaient plus. Ces quotas avaient été considérés par les têtes d’œufs de Bruxelles comme une matière première (zinc, cuivre, blé), et donc soumise à une TVA (taxe sur la valeur ajoutée). Mais pour complaire aux écologistes, tout citoyen engagé était supposé s’approprier une part de ce marché. Ainsi, il suffisait de s’inscrire sur le registre (quelques milliers d’euros), et n’importe quel margoulin pouvait acheter et vendre ces quotas sur le marché européen. Au Danemark, il suffisait d’une photocopie d’une pièce d’identité trafiquée ! C’est ainsi qu’une myriade de petites sociétés bidon avec des prête-noms à leur têtes ont acheté hors taxe en Union européenne (Maastricht oblige) des quotas vendus TTC en France, avec 20 % de bénéfice en quelques minutes. La France y a laissé environ deux milliards d’euros, qui doivent être aujourd’hui sur des comptes bancaires en Israël.

 

J. B. : L’affaire du CO2 (carbone), semble-t-il, n’a débouché sur aucun procès. Avez-vous des informations à ce sujet ?

H.R. : Si, il y a bien eu un petit procès : celui de Fabrice Sakoun, à la mi-janvier 2012. Il a comparu libre à l’audience, ce qui fait qu’il a disparu juste avant le verdict. Il est probablement aujourd’hui en Israël, en train de déguster son jus de sang palestinien au bord de sa piscine. Je dis “probablement” car tous les escrocs juifs se réfugient en Israël, où ils sont sûrs de l’impunité. L’État d’Israël, en effet, n’extrade pas ses ressortissants. D’autres protagonistes de l’affaire de la taxe carbone qui avaient été appréhendés par la police française ont été curieusement relâchés. Le fait est qu’à Paris comme à Lyon, les escrocs séfarades semblent bénéficier de complicité dans la police et dans la justice. Le numéro un de la police lyonnaise, le fameux commissaire Neyret, fréquentait assidûment cette pègre ; et il a été remis en liberté en mai 2012, après seulement huit mois de détention ! Moi qui me suis pris cette année deux mois ferme pour une blague sur Bertrand Delanoë, et encore un mois ferme pour le simple port d’une bombe lacrymogène. Mais passons… Depuis janvier 2014, un plus gros poisson est sous les verrous : il s’agit de Cyril Astruc, alias Axel Khann. Les autres dossiers sont toujours à l’instruction. La seule certitude est qu’il n’y aura pas de grand procès, comme pour les deux affaires du Sentier. L’affaire est tellement énorme, et tellement séfarade, que la justice française a cette fois préféré la découper en tranches, afin d’éviter un procès spectacle qui aurait braqué les projecteurs sur la communauté juive – une communauté, comme chacun sait, appauvrie par la crise et déjà suffisamment éprouvée par l’antisémitisme !

 

J. B. : Quelles sont les autres escroqueries qui ont retenu votre attention ?

H. R. : L’escroquerie dont on parle le plus en ce moment est celle dite aux “FOVI” : aux faux ordres de virements internationaux. On l’appelle aussi “escroquerie au président”. Les escrocs commencent par collecter le maximum de renseignements sur une entreprise, puis appellent au téléphone un responsable comptable ou financier d’une filiale en se faisant passer pour le président en personne. L’homme imite parfois la voix du président, envoie un faux courriel avec la bonne adèle (adresse électronique) pour confirmation, demande à son interlocuteur – trop honoré – de garder le secret (il s’agit d’un OPA qui doit rester secrète !). La victime s’exécute et vire l’argent sur un compte bancaire à Hong-Kong, au Panama ou à Tbilissi. C’est ainsi que des centaines d’entreprises françaises ont été délestées de plusieurs centaines de milliers, voire de millions d’euros. Depuis le début de cette année 2014, les tentatives de ce type ont explosé ; ce qui fait que la presse économique alerte régulièrement ses lecteurs sur ce problème, mentionnant parfois l’État d’Israël. Mais – il faut le dire – cette escroquerie est, une fois de plus, uniquement le fait de juifs séfarades habitant dans l’État hébreu (le pays cher à Aymeric Chauprade). La France est pour le moment le seul pays à être touché, du fait que les escrocs sont des juifs francophones. Je pourrais aussi vous parler des faux encarts publicitaires, des bonimenteurs de marchés, des techniques de vente de certains marchands de meubles. Il y a aussi les escroqueries à la mémoire… Mais là, je sens que les lecteurs de Rivarol ont une petite idée sur l’art et la manière qu’ont certaines personnes pour faire du fric avec de simples bobards !

 

J. B. : Parlez-nous plutôt de la finance internationale, puisque c’est la deuxième partie de votre sous-titre. Ça nous évitera un procès !

H. R. : Soit ! Vous avez raison mon cher Jérôme, évitons les sujets qui fâchent ! Eh bien voilà. Il se trouve que je ne suis ni économiste, ni financier ; mais, à force de travail, il me semble avoir élaboré une petite synthèse sur la crise financière de 2008 qui risque d’en laisser pantois plus d’un.  Je n’ai fait  évidemment que synthétiser des ouvrages sur la question. Pour faire court, disons simplement qu’à la base de la crise financière de 2008, il y avait des petits courtiers peu scrupuleux (la profession ayant été déréglementée aux États-Unis) qui accordaient des crédits immobiliers à toute sorte de gens modestes, tandis qu’en haut de la pyramide, les grandes banques de New York “titrisaient” ces crédits immobiliers pourris qui étaient notés “triple A” avant d’être revendus à des banques allemandes ou des fonds de retraite coréens. Vous verrez, c’est très simple à comprendre, et très amusant ! Hélas, mille fois hélas !, ce sont encore souvent des pauvres juifs persécutés qui sont les principaux instigateurs de cette catastrophe financière. Mais, comme je le dis et le répète dans le livre, si les juifs jouent un rôle moteur, ils ne sont pas les seuls à être impliqués : maints et maints goys les ont suivi dans leur sillage. Le fait est que la fièvre accumulatrice qui règne à Wall Street a déteint par contagion sur bien des esprits – et notamment sur l’esprit des protestants calvinistes anglo-saxons, il faut le dire. 

 

J. B. : Traitez-vous dans votre livre le cas “Goldman Sachs” ?

H. R. : La Goldman Sachs s’en est bien sorti. C’est d’ailleurs la seule des grandes banques new yorkaise qui est parvenu à s’enrichir pendant cette crise. Ses principaux dirigeants avaient concocté pour leurs clients des produits financiers “aux petits oignons” qui laissent une saveur particulièrement agréable pour le lecteur… et particulièrement amère pour les pauvres goys qui les ont achetés ! 

 

Hervé Ryssen, Les Milliards d’Israël, 336 pages, 26 € +2 € de port (8 € pour les dom-tom). Chèque à l’ordre de LALIN, 14 rue Pierre Brossolette, 92300 Levallois. Ou commandez le livre à Rivarol. 

Les autres livres d’Hervé Ryssen : Les Espérances planétariennes 2005, 432 pages, 26 € ; Psychanalyse du judaïsme 2006, 400 pages, 26  € ; Le Fanatisme juif  2007, 400 pages, 26  € ; La Mafia juive 2008, 400 pages, 26  € ; Le Miroir du judaïsme 2009, 400 pages, 26 € ; Histoire de l’antisémitisme 2010, 432 pages, 26 € ; Le Racisme antiblanc 2011, 320 pages, 20 € ; La Guerre eschatologique 2013, 192 pages, 20 €. 

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22/08/2014

Understanding the Jews, Understanding Anti-Semitism

Notre synthèse de 144 pages de 2012, Comprendre le judaïsme, comprendre l'antisémitisme, vient d'être traduite en anglais (août 2014)

Vous pouvez vous la procurer sur amazon en cliquant sur la couverture ci-dessous.

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Le livre est aussi disponible sur lulu.com : ICI

(nous ne gérons pas la diffusion de cette traduction)

Traduction de Carlos Porter

 

17/04/2014

Mon Camp - Hervé Ryssen 2014

J’ai accepté une invitation pour une conférence le 4 mai 2014 à Bruxelles, avec des personnalités bien connues de la “Dissidence” : Dieudonné, Alain Soral, Salim Laïbi, Joe Lecorbeau, Kémi Seba, Jacob Cohen, Marion Sigaut, etc. Mais il y aura aussi des personnalités plus proches de notre famille politique, comme Pierre Hillard et Johan Livernette. Comme j’ai déjà rencontré personnellement la plupart d’entre eux, je ne me sentirai assurément pas comme un canard tout noir au milieu d’oies blanches.

Toutefois, il s’agit de bien garder à l’esprit que le projet politique porté par ce courant de pensée qu’est la “Dissidence” n’est pas le nôtre. Pour faire court : l’association d’Alain Soral, Égalité-Réconciliation, valide la présence massive des Afro-maghrébins dans la société française, alors que nous considérons que leur masse est aujourd’hui très largement suffisante pour engloutir, à terme, ce qu’il reste du peuple français. Pour nous, ce n’est pas acceptable. Nous pensons donc, au contraire, qu’il faut tout mettre en œuvre pour encourager le maximum d’immigrés afro-maghrébins à rentrer chez eux et à développer leur pays.

Mais ce qui nous rapproche d’Égalité-Réconciliation est au moins aussi fort que ce qui nous en sépare, à savoir, la conscience très claire qu’un “Empire” mondial est en train de se constituer sur les décombres du monde traditionnel. L’ennemi cosmopolite, qui tient entre ses mains les banques et le système médiatique, a un objectif : supprimer les frontières, détruire les nations, dissoudre les identités, afin d’unifier la terre et d’établir un gouvernement mondial, qui est selon eux la condition nécessaire pour assurer la paix dans le monde.

Mais attention, ce ne sera pas n’importe quelle “paix” (shalom). Celle-ci devra être absolue, universelle et définitive. C’est alors que leur messie arrivera, pensent-ils. Il n’y aura plus de conflits entre les classes sociales ; il n’y aura plus de conflits entre les nations ; il n’y aura plus de conflits entre les sexes. En fait, il n’y aura plus rien pour susciter des tensions entre les hommes sur cette terre : plus de classes sociales, plus de religion, plus de races, plus de nations, plus de différence entre les hommes et les femmes. Vous l’avez compris : il s’agit de tout détruire (solve et coagula). Ce fanatisme égalitaire représente le fond du judaïsme politique, comme nous l’avons largement démontré dans nos livres.

On comprend maintenant pourquoi les membres de cette secte ont représenté la quasi-totalité des doctrinaires marxistes, qui envisageaient autrefois la prise de pouvoir par le prolétariat de chaque pays afin de liquider les élites nationales et de créer ensuite un monde unifié sans classes sociales. Ce sont exactement les mêmes qui nous invitent aujourd’hui à oublier nos traditions et nos identités pour nous fondre dans une humanité sans frontières. Et, si l’on regarde bien, ce sont aussi les mêmes qui sont les partisans les plus acharnés de l’ambiguïté sexuelle, de l’indifférenciation sexuelle, allant jusqu’à envisager très sérieusement la gestation pour les hommes. Cette secte de fanatiques représente le mal absolu sur cette terre. 

Tous les pays doivent selon eux être soumis à leur pouvoir avant la grande fusion totalitaire. C’est la raison pour laquelle ils ne cessent, depuis des lustres, de fomenter des guerres contre les pays qu’ils jugent récalcitrants. Ces salopards ont ainsi poussé les Occidentaux dans une guerre contre l’Irak en 1991, contre l’Afghanistan en 2001, de nouveau contre l’Irak en 2003, puis contre la Libye en 2011. Et la Syrie de Bachar el Assad y serait passée en 2013 si le président russe Vladimir Poutine n’avait pas tapé du poing sur la table. Déjà, en 2006, les Kouchner, Finkielkraut, Lévy et compagnie voulaient nous envoyer dans une guerre contre l’Iran. Bien entendu, il ne s’agit pas, selon eux, de défendre l’État d’Israël qui leur est si cher, mais de défendre “l’humanité”. Il faut apprendre à lire ces salopards, au risque de mourir idiot.

Voilà pourquoi c’est avec joie que j’accepte l’invitation de la “Dissidence” à Bruxelles, organisée par le député Laurent Louis et Abdesselam Laghmich, qui sera tête de la liste “Debout les Belges” aux élections européennes. Ce n’est pas un ralliement à l’Europe multiculturelle, mais une solidarité naturelle avec des gens qui ont compris le fonctionnement du mondialisme et qui s’y opposent frontalement, comme personne n’avait jamais osé le faire jusqu’à présent. 

Pour les esprits chagrins qui y verraient une dérive idéologique, je rappelle qu’en 2006, j’avais été le premier à soutenir Kémi Seba à ses procès. Et depuis 2006, je ne crois pas m’être rallié à l’idée d’une France africaine. En 2009, j'avais soutenu la liste antisioniste de Soral et Dieudonné; et je ne suis pas devenu un thuriféraire de la société multiculturelle. Je suis aussi allé en Iran en février 2013, et je ne me suis pas converti pour autant à l’islam. Bref, je ne m’interdis pas de parler courtoisement et amicalement avec des Noirs et des Arabes à partir du moment où ceux-ci respectent mon identité, mes valeurs et mon combat de libération nationale ; d’autant que ces derniers, sensible à notre cause, ne représentent guère qu’une toute petite partie de la masse installée sur notre sol.

Il y a en revanche des gens, dans le milieu “d’extrême droite”, avec qui nous ne pourrons visiblement jamais nous entendre. Le site Fdesouche, par exemple, qui est l’un des principaux sites de la droite islamophobe, nous boycotte méticuleusement et implacablement depuis des années. Notre nom y est systématiquement censuré, et tout débat sur la question mondialiste est immédiatement évacué des commentaires. Pierre Sautarel nous a même signifié hier qu’il fallait que nous cessions au plus vite d’utiliser sur twitter le “hashtag fdesouche“, pour ne pas débaucher ses quelques lecteurs qui feraient preuve d’un peu de curiosité intellectuelle.

Le site Fdesouche a longtemps eu pour modérateur un certain Thomas Ferrier (ce qui est peut-être toujours le cas). Ce Thomas Ferrier utilise le pseudo de “Thomas Stahler” pour écrire ses articles, et d’innombrables autres pseudos pour ses commentaires sur les forums. On le voit apparaître sur Fdesouche en tant qu’ “eurosozialist”. Dans son commentaire 176 du 24 avril 2010, il écrit ingénument : “Et pourtant je suis sans doute le posteur le plus pro-J sur FDS !” “Pro-J” signifiant pro-juif, pro-israélien. Et voici son commentaire 235: “Perso, systématiquement, je nettoie tout judéophobe et je le bannis immédiatement.” Il faut lire quelques textes de ce Thomas Ferrier pour comprendre que nous avons affaire à un sacré phénomène de foire : il exècre le christianisme, paraît vouer une certain admiration pour Adolf Hitler, exalte le fascisme et l’unification européenne et se prétend défenseur de la race blanche. On nous affirme par ailleurs que d’autres modérateurs de fdesouche seraient aussi de “véritables nazis”. Fort bien ! Simplement, il faudrait nous expliquer comment on peut être “nazi” en léchant le cul des juifs d’une manière aussi indécente!

Car, je suis désolé de le dire, mais quand on voit le mal que nous ont fait les juifs, rester neutre, c’est être un peu complice. Nous avons montré dans nos livres que la quasi-totalité des films faisant l’apologie de l’ouverture des frontières, de la tolérance et du métissage sont des films réalisés par des cinéastes juifs ; Fdesouche n’en parle jamais. Et ce n’est qu’une toute petite partie du problème. En revanche, dès que le philosophe Alain Finkielkraut ouvre la bouche, Fdesouche relaie immédiatement l’information (deux fois par semaine depuis dix ans !).

Si Finkielkraut et quelques autres de ses congénères défendent aujourd’hui les “Blancs”, c’est qu’ils se sont aperçus, depuis 2001 environ, que la principale menace, pour eux, ne venait plus de “l’extrême droite, mais de ces immigrés afro-musulmans qu’ils ont pourtant tellement contribué à faire entrer sur notre territoire. Finkielkraut, contre qui nous n’avons cessé de mettre les patriotes en garde, s’est finalement révélé en janvier 2014 à la faveur de l’affaire Dieudonné. Chacun a alors pu se rendre compte qu’il était resté juif en son for intérieur, et que sa principale préoccupation, finalement, restait son cher État d’Israël et la lutte contre l’antisémitisme. Mais Fdesouche continue de l’idolâtrer. On a récemment rencontré un ancien camarade dans la rue : un grand lecteur de Fdesouche, qui était convaincu que l’État d’Israël était le poste avancé de l’Europe au Proche-Orient ! Du beau travail d’abrutissement, en vérité!

Que les Identitaires et les Fdesouche aient décidé de ne jamais parler de cette question cruciale, cela peut se comprendre, si on se lance sur le terrain électoral : il faut racler le plus bas possible pour emporter la conviction des petites-gens peu instruits qui forment une grande partie de la population. Nous ne disons pas non plus que Fdesouche n’a pas son utilité dans le combat que nous menons tous pour la préservation de notre identité ; nous prétendons simplement que ce site, à lui seul, ne permet pas à un jeune militant de comprendre le monde tel qu’il est et ne lui fournit pas les armes intellectuelles qui pourraient lui permettre de convaincre des gens cultivés et bien insérés dans la société. À plus ou moins long terme, la fréquentation de Fdesouche rétrécit l’âme, durcit l’esprit et assèche la créativité. La comparaison avec le travail de Soral et l’équipe d’Égalité-Réconciliation – quoi qu’on pense de son contenu politique – est ici éclairante : Égalité-Réconciliation a permis de révéler en quelques années une floraison de talents : des chanteurs, des humoristes, des dessinateurs à foison ; là ou Fdesouche est resté parfaitement stérile.

Et en ce qui nous concerne, nous pensons qu’il est impossible de gagner la guerre contre l’ennemi cosmopolite si l’on n’entretient pas l’esprit, l’intelligence et le talent créatif. La guerre est aussi psychologique : quand on prend l’habitude de baisser les yeux devant son maître et qu’on ne prononce jamais le nom du tyran, on finit vite par devenir un esclave. Sur ce sujet, nous ne saurions trop vous conseiller de lire la troisième partie de notre Guerre eschatologique. Parce qu’il faut lire les livres, et ne pas se contenter des articles glanés ici et là sur internet. C’est le seul moyen d’acquérir une véritable culture et de fortifier votre esprit. Si les juifs ont l’esprit souvent plus souple et ingénieux que celui des goys, c’est parce qu’ils lisent beaucoup. C’est l’esprit juif qu’il faut combattre ; c’est l’esprit juif que je combats ; c’est par l’esprit que nous gagnerons, avec l’aide de Dieu ! Hervé Ryssen, 17 avril 2014. 

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11/04/2014

Fabrice Sakoun : le super escroc juif, condamné à...

La fraude à la TVA sur la taxe carbone, dite "fraude au CO2", est la plus grosse escroquerie en bande organisée de l'histoire, si l'on met de côté le cas de Bernard Madoff. Entre 5 et 10 milliards d'euros ont été volés dans les caisses des Etats européens, mais visiblement, les jewrnalistes ne s'intéressent pas beaucoup à la question, et les pouvoirs publics semblent légèrement gênés aux entournures. Pourquoi ?

Parce que les escrocs, une fois de plus, sont leurs amis, leurs petits copains, ceux qu'ils chérissent tant, à moins que ce soit tout simplement leurs propres cousins, cousins éloignés, cousins par alliance, cousin par l'arnaque. 

De fait, toutes les pistes suivis par les juges d'instructions en charge des dossiers depuis 2009 montrent que la totalité des escrocs se sont réfugiés dans l'Etat d'Israël avec leur magot.

L'Etat français a décidé de découper cette énorme scandale en plusieurs tranches, afin d'éviter de faire un nouveau procès du Sentier, un SENTIER III, et d'être un peu plus discret sur ces escrocs juifs qui n'ont de cesse de voler les goys partout où ils peuvent.

Le procès en appel de Fabrice Sakoun vient de se terminer, le 4 avril 2014, et le seul journal qui en a parlé dans la presse est le journal gratuit 20 Minutes ! On attend le verdict, en espérant que les jewrnalistes feront un peu mieux leur travail.

On savait déjà que l'Agence France Presse était une officine de clodos politisés, on sait aussi que les juges de la république sont des vendus, vu le nombre d'escrocs qui ont été relâchés dans la nature, mais on ne savait pas encore à quel point l'ensemble du système médiatique était verrouillé.

Hervé Ryssen

27/03/2014

Piero San Giorgio en force !

Nous avons eu l'année dernière quelques propos critiques à l'encontre de  Piero San Giorgio, l’auteur suisse du livre “survivre à l’effondrement économique”. Il nous faut aujourd’hui réviser notre jugement sur le personnage.

Ce vendredi 21 mars 2014, au salon du livre qui se déroulait à Paris, porte de Versailles, Piero San Giorgio était interrogé dans un entretien vidéo au sujet du référendum  d’initiative populaire de février sur “l’immigration de masse” en Suisse, qui s’est soldé par défaite des cosmopolites et la victoire des patriotes. Piero San Giorgio – c’est tout à son honneur – y déclare, entre autres (4 :30) :   

“…Je me doute très bien où ils veulent en venir. Je pense qu’il y a des gens, très sérieusement, qui ont une idéologie – il ne faut pas avoir peur des mots – d’extermination de la race et du peuple européens, par le métissage, par la destruction économique […] En Suisse, nous avons encore une vraie démocratie populaire et nous avons encore la chance de pouvoir nous exprimer [...] Nos médiats, comme les vôtres, ne respectent plus les institutions démocratiques. Au contraire, elles sont au service de pouvoirs qu’il serait intéressant d’identifier : de l’argent, de grandes multinationales, d’intérêts économiques avant les intérêts du peuple.”

Un grand bravo à Piero San Giorgio !

Hervé Ryssen 

24/03/2014

Alexandre del Valle, Le Complexe occidental

del Valle.jpgAlexandre del Valle vient de publier un livre intitulé "Le Complexe occidental", et sous-titré "Petit traité de déculpabilisation". On pourrait se réjouir de cette initiative, mais quand on sait qui est Alexandre del Valle, on se tient tout naturellement sur ses gardes.

Pour être bref, l’homme fait partie de cette poignée d’intellectuels pro-sionistes qui se sont aperçus en 2001 que le danger, pour les juifs, ne venait plus de “l’extrême droite” mais des musulmans de banlieues. Depuis, ils n’ont de cesse de taper sur l’islam, et uniquement sur l’islam, tout en validant l’idée de société multiculturelle, multiraciale, multiethnique. "Moi je pense que la solution, c'est l'intégration" affirme del Valle dans son entretien sur radio Courtoisie (38:10), alors que les Blancs sont en passe de devenir minoritaires. "Il est temps de relancer la machine à intégrer et de recréer un vouloir-vivre ensemble", peut-on lire encore au sujet de son livre sur le site sioniste atlantico.fr.

Leur objectif est de briser la force de l’islam qui menace leur pouvoir en Europe, et d’entraîner les Européens dans des guerres contre les régimes qui menacent l’État d’Israël.

En Syrie, ces néo-conservateurs ont considéré que l’essentiel était d’abattre le régime de Bachar el-Assad. Ils ont donc contracté une alliance objective avec les égorgeurs islamistes sunnites qu’ils sont pourtant supposés combattre. En Ukraine, aujourd’hui, leur ennemi prioritaire est évidemment la Russie de Vladimir Poutine ; et ils se retrouvent côte à côte avec les nationalistes ukrainiens, pourtant virulemment  antisémites.

Il ne s’agit donc pas de “monter les communautés les unes contre les autres”, mais de définir un “ennemi prioritaire” dont on se sert comme “bouc émissaire” (inversion accusatoire caractéristique – c’est une image tirée de la Torah), de l’accabler de toutes les tares (“nouvel Hitler”, mal absolu, volonté de domination mondiale, etc. – encore une inversion accusatoire), et de mobiliser tous ses ennemis pour le détruire et le réduire à néant. Les juifs n’ont jamais agi autrement.

Quand Alexandre del Valle nous parle de “judéo-christianisme”, et de “civilisation judéo-chrétienne”, on se méfie tout naturellement.

Quand Alexandre del Valle nous parle de “suicide de l’Occident”, alors que les Européens ont un couteau planté dans le dos, on se méfie là aussi. Le fait est que depuis des décennies, les cinéastes juifs n’ont eu de cesse de réaliser des centaines de films tendant à culpabiliser l’homme blanc (le pillage du tiers-monde, la déforestation, l’esclavage des Noirs, l’Inquisition, etc.), à détruire la famille patriarcale, à encourager l'homosexualité par tous les moyens et à exalter la société multiculturelle.

Quand un site comme “europe-israel.org” fait la publicité de son livre, on se méfie !

Écoutez cela : “Pour Del Valle, tout "réarmement moral" passe par un réapprentissage et une revalorisation de l’histoire de la civilisation occidentale judéo-chrétienne”.

Le livre est édité aux “éditions du Toucan”.

Hervé Ryssen - Pourquoi l'antisémitisme

15/03/2014

La petite erreur de Joachim Veliocas

Dans notre premier livre Les Espérances planétariennes, paru fin 2005, nous avons montré, à l’aide de centaines de citations, que le judaïsme est essentiellement un projet politique d’unification mondiale, et que les intellectuels juifs ont systématiquement encouragé l’immigration et le métissage partout où ils demeurent.

Nous avons aussi montré qu’à partir de 2001, de nombreux intellectuels juifs ont considéré que le principal danger, pour eux, ne venait plus de “l’extrême-droite” mais des jeunes musulmans.

C’est à partir de là qu’est apparu un nouveau discours “d’extrême-droite”, typiquement juif, uniquement centré sur la question de l’islam. Depuis lors, certains juifs nous jurent leurs grands dieux qu’ils sont d’excellents patriotes, et que l’État d’Israël est le bastion de l’Occident au proche Orient. Après tout, se disent-ils, les goys sont tellement cons qu’ils pourront bien avaler ça aussi.

Joachim Véliocas, l'administrateur du site internet nommé "Observatoire de l'islamisation" (islamisation.fr), fait partie de cette mouvance. De son point de vue, donc, un philosophe comme Alain Finkielkraut est à placer au pinacle de la pensée européenne (et Christine Tasin est sans doute aussi la nouvelle Jeanne d’Arc qui va délivrer la France du péril musulman).

Dans un petit article du mois de février 2014, il nous accusait d'avoir tiré de leur contexte certaines citations d'Alain Finkielkraut citées dans notre livre Les Espérances planétariennes et reprises régulièrement par des internautes. A écouter Joachim Véliocas, il fallait croire que dans les années 90, Finkie était déjà un patriote français qui s’inquiétait de la mondialisation et de la déliquescence de notre civilisation. Ses accusations étaient intrigantes, il faut le dire, puisque nous n’avons pas pour habitude de falsifier quoi que ce soit.

Nous avons laissé un peu de temps à ce Joachim Véliocas, pour voir si, des fois, il avait la capacité intellectuelle de faire des recherches approfondies afin de tenter de déboulonner notre travail (bon courage !). Evidemment, rien de cela n’a été fait. On imagine qu’il a vérifié dans deux ou trois livres si nos citations étaient bien réelles, puis s’est rapidement rendu compte que nous n’avons rien inventé, ni sur Finkielkraut, ni sur personne.

Nous nous sommes néanmoins procuré à nouveau le livre d’Alain Finkielkraut, L’Humanité perdue (1996), pour vérifier les allégations de Joachim Véliocas. Ca n’a pas été trop compliqué, puisque les livres de ces super génies de la littérature et de la philosophie que sont les Finkielkraut, Bernard-Henri Lévy, Alain Minc, Lévinas, Derrida et autres Edgar Morin, se retrouvent en vrac à cinquante centimes d’euros chez Boulinier sur le boulevard Saint-Michel. 

Nous sommes maintenant rassurés : les accusations de Joachim Véliocas sont sans fondement. Il n’a d’ailleurs pas tardé lui-même à s'en rendre compte, puisque son article a été retiré de son site internet, comme nous venons de le constater. Mais il reste des traces de pneu : juif.org et islamisme.fr, deux sites juifs, ont repris l’article, trop contents de leur propre bêtise.

Dans de nombreux passages de son livre, Finkielkraut lustre et entretient la pensée cosmopolite, parlant effectivement, comme nous le disions, du “risque mortel que fait peser sur le monde le culte de l'appartenance, la segmentation de l'humanité et l'enfermement des individus dans leur race ou dans leur culture”.

Je dis bien : dans de nombreux passages.

Mais il est vrai, comme l’écrit Véliocas, que son chapitre se termine par ces mots : “Malheur à nous […] la planétarisation gagne.” 

Si Joachim Véliocas connaissait le judaïsme comme je le connais moi-même, après l’avoir étudié comme personne d’autres sur cette planète depuis des lustres, il aurait su que Finkielkraut fait partie de ces quelques intellectuels juifs qui s’interrogent sur la légitimité du suprémacisme juif, qu’on leur a inculqué dès le plus jeune âge. Il y a souvent une ambiguïté très caractéristique sous sa plume, si bien que l’on ne sait parfois plus s’il commente les propos de l’auteur dont il parle, ou si ce qu’il écrit reflète sa propre opinion. C’est là que Joachim Véliocas s’est trompé. 

“De l'importance de lire les auteurs in extenso avant d'émettre des jugements péremptoires !”, avait-il écrit en conclusion. On ne le lui fait pas dire. 

Il y a des thèmes lancinants dans la littérature juive : l’espérance, l’innocence, la vengeance, etc. Mais si l’on ne devait retenir qu’un seul mot pour définir le judaïsme, en général, ce serait effectivement celui-ci : ambiguïté (c’est l’une des nombreuses facettes de l’hystérie. Cf. Psychanalyse du judaïsme). 

On ne fera pas grief à Joachim Véliocas de nous avoir agrippé sur trois pauvres citations de Finkielkraut, qui s’insèrent si bien dans l’univers mental de sa communauté, d’autant qu’il a raison sur un point : dans les Espérances planétariennes, nous avons cité très exactement ce passage : “Le risque mortel que fait peser sur le monde le culte de l'appartenance, la segmentation de l'humanité et l'enfermement des individus dans leur race ou dans leur culture ne saurait être définitivement conjuré que par l'instauration des sociétés pluri­ethniques." Or, les derniers mots (“ne saurait être…”) ne figurent pas dans le livre. Nous nous l’expliquons d’autant moins que la formulation n’est pas la nôtre. Il faudrait donc effectivement vérifier s’il n’y a pas eu une autre édition sur le marché, afin d’en avoir le cœur net. 

Evidemment, cela ne change strictement rien à la pensée de Finkielkraut et de ses congénères. Ces pinailleries n’ont en fait aucun d’intérêt – on vous l’accorde – mais les petits juifs sans scrupules qui sont derrière Véliocas sont parfaitement capables de se servir de cet article pour nous nuire, vu qu’ils n’ont pas grand-chose à se mettre sous la dent. Si les juifs étaient des gens honnêtes, depuis le temps, ça se saurait ! Alors on préfère que les choses soient claires. 

On aurait certes pu penser ces dernières années que Finkielkraut était en passe de sortir de l’ornière et de quitter le judaïsme une bonne fois pour toute (voir ICI). Mais au mois de janvier 2014, pendant l’affaire Dieudonné, chacun a pu constater que sa filiation et son éducation lui collaient à la peau et que – le pauvre – il ne parviendrait décidément jamais à s’en défaire. Hervé Ryssen

03/02/2014

Islam, tact et discrétion : du “Jour de colère” à la “Manif pour tous”

Le 10 janvier dernier, l’humoriste Dieudonné – persécuté par le pouvoir parce qu’il fait rire son public sur un sujet grave – s’est vengé à sa manière en appelant ouvertement ses sympathisants à manifester au “Jour de colère” du 26 janvier. Ainsi, on allait voir des opposants au système “sioniste” – en partie issus de l’immigration afro-maghrébine – se joindre aux Français de souche en colère contre la destruction de leur civilisation.

En ce qui nous concerne, nous nous sommes alors immédiatement réjouis de cette convergence des luttes contre le mondialisme et avons applaudi des deux mains, en fustigeant quelques grincheux de la droite islamophobe et philosioniste, comme cette Christine Tasin, notamment, qui a lancé un ultimatum aux organisateurs du “Jour de colère” en menaçant de se retirer si une fin de non-recevoir n’était pas opposée à l’humoriste. La “Tasin” s’est finalement retirée en claquant la porte, laissant apparaître au grand jour son manque de jugement et de sens politique : sortir d’une pièce parce que quelqu’un qu’on n’apprécie pas vient d’y entrer est évidement une preuve de faiblesse.

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Cette manifestation du 26 janvier a finalement été un grand succès, puisque pas moins de quarante mille patriotes français de tous les horizons s’y sont rencontrés et ont pu clamer leur colère contre l’État et les lobbys qui nous manipulent. Notez qu’à “l’extrême-droite”, personne ne s’est offusqué des slogans contre la franc-maçonnerie et le lobby juif, qui ont fusé un peu partout dans la manif, ce qui dénote un nouvel état d’esprit, en rupture complète avec le système médiatique. On peut dire qu’un grand pas a été fait.

Les partisans de Dieudonné et de Soral, de leur côté, ont apporté un renfort de quelques centaines de militants, dont des Afro-Maghrébins, qui ont participé à cette journée sans qu’il y eut à déplorer aucun incident majeur. Ce rapprochement n’est d’ailleurs pas inédit, puisque, déjà en décembre 2006, des centaines de militants nationalistes s’étaient rendus au spectacle de Dieudonné, au Zénith de Paris, se mêlant ainsi à des “jeunes de banlieue”. On peut dire, en quelque sorte, que ce 26 janvier 2014, ces “jeunes issus de l’immigration” nous ont rendu la politesse.

Une semaine plus tard, ce dimanche 2 février, la “Manif  pour Tous” a réuni 120 000 personnes sur la place Denfert-Rochereau, sur une revendication plus précise : la défense de la famille. Cette fois-ci, c’est l’UMP qui était aux commandes, avec un service d’ordre vigilant, ne tolérant aucun tract, aucun slogan, aucun drapeau d’aucun mouvement autre que ceux de la “Manif pour tous”. Là, ce n’était pas 98 %, mais bien 99 % des manifestants qui étaient des Français de souche, “blancs de chez blancs”.

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Pourtant, la manifestation était ouverte à tous, à toutes les communautés, de toutes les races et de toutes les religions. La “Manif pour tous” avait même décidé de dérouler le tapis rouge pour les musulmans. Parmi les orateurs qui se sont succédés à la tribune, on a ainsi pu entendre un certain Camel Bechikh, membre du collectif des “musulmans patriotes” et président de “Fils de France” une association qui encourage les musulmans à aimer la France et à défendre les valeurs traditionnelles. Ce Camel Bechikh est sans doute un individu très sympathique, et semble défendre des valeurs qui sont aussi les nôtres. Mais enfin, il nous a paru tout de même incongru qu’une telle place fût accordée à un musulman, d'autant que les militants nationalistes avaient eux été soigneusement tenus à l’écart – les organisateurs s’étant mis d’accord avec la police socialiste de Manuel Valls pour neutraliser ou interpeller dès le départ les groupes de jeunes pas assez “bon chic bon genre”.

À une bonne dizaine de reprises, les deux écrans géants ont montré de près la banderole de ses amis dans la foule, sur laquelle était écrit, en français et en caractères arabes : “Les Français musulmans disent non au mariage homosexuel”. Il y avait donc des musulmans parmi nous ? Pourquoi pas, après tout.

Mais cette insistance à afficher en gros plan leur participation était suspecte. Nous avons alors décidé de fendre la foule compacte et de nous rapprocher, afin d’en avoir le cœur net. Arrivé en face de la tribune, où devait se trouver la masse de ces “musulmans patriotes” sous leur grande banderole, nous avons alors pu constater par nous-mêmes ce que nous soupçonnions : ces “musulmans patriotes” n’étaient qu’une poignée. J’ai personnellement compté six femmes portant le “hijab” recouvrant leurs cheveux, sept ou huit Arabes, et un Noir ! Pas plus ! Voilà les troupes de renforts des “musulmans patriotes”, qui ont eu toute l’attention, toute la faveur des organisateurs de la “Manif pour Tous”, et qu’a saluées chaleureusement Camel Bechikh au micro. Alors à ces musulmans, je le dis très amicalement : essayez de vous faire un peu plus discrets à l’avenir dans les manifestations de patriotes français si vous voulez évitez les grincements de dents. Le fait est qu’à la fin de son discours, on n’a pas vu beaucoup de gens applaudir.

La semaine précédente, sur la place Vauban, devant le dôme des Invalides, les partisans de Dieudonné s’étaient placés là encore juste devant la tribune, aux premières loges, alors qu’ils étaient ultra-minoritaires et qu’ils étaient, en quelque sorte, des invités. Et là aussi, ils s’étaient fait remarquer. Le fait est que les discours des quelques inconnus qui ont eu l'honneur d'intervenir à la tribune – comme nous l’avons déjà écrit – étaient particulièrement fades, insipides, inconsistants, et ne reflétaient en rien la “colère” que les manifestants étaient supposés ressentir. Autant le dire, puisque nous étions sur place : quand quelques Arabes ont commencé à exprimer un peu plus fort leur déception et à réclamer Alain Soral à cor et à cri, il nous a semblé qu’effectivement, c’était encore ce qui aurait pu arriver de mieux, tant l’absence de tête politique était criante. Mais enfin, ces “Fils de France” auraient peut-être pu être un peu plus discrets. Voilà pour la forme. Hervé Ryssen

21/07/2013

Le judaïsme est un projet politique

Nous avons largement montré, dans différents chapitres de nos livres, que les intellectuels juifs, toutes tendances confondues, encouragent l’immigration de toutes leurs forces, partout où ils sont installés. Leur objectif est de dissoudre les sociétés ethniquement homogènes et de favoriser le métissage, afin de parvenir, à terme, à l’unification du monde et à l’instauration d’un gouvernement mondial.

"Après la mise en place d’institutions continentales européennes, apparaîtra peut-être l’urgente nécessité d’un gouvernement mondial", nous dit Jacques Attali, dans son Dictionnaire du XXIe siècle.

La société multiculturelle et l’affaiblissement du sentiment d’appartenance leur permet aussi de se préserver d’un sursaut nationaliste, dont ils gardent un souvenir cuisant. Les propos à ce sujet sont innombrables. Tous les intellectuels juifs – sans aucune exception – sont ainsi focalisés sur cette question de la société “plurielle” et exercent une “vigilance antiraciste” permanente, par delà leurs divergences politiques.

Dans L’Humanité perdue (1996), le philosophe Alain Finkielkraut explique : "Le risque mortel que fait peser sur le monde le culte de l’appartenance, la segmentation de l’humanité et l’enfermement des individus dans leur race ou dans leur culture ne saurait être définitivement conjuré que par l’instauration des sociétés pluri­ethniques."

Bernard-Henri Lévy tient un discours beaucoup plus explicite qui reflète mieux cette volonté cosmopolite de détruire les nations : "La machine européenne, écrit-il… est venue s’inscrire contre ces nationalismes mystiques et a commencé à les renvoyer au musée des horreurs historiques. Avec la mort de ces nationalismes, les Juifs perdent le plus redoutable de leurs adversaires." (Récidives, 2004). Le philosophe milliardaire s’emp­resse de préciser la nature de cette Europe démocratique, qui ne doit pas, selon lui, être "une nation de plus", mais "un dispositif de nature à travailler, fracturer, pulvériser et, fina­lement, nécroser, les identités et les fixations nationales."

L’immigration comme nécessité

Les intellectuels juifs nous présentent toujours l’immigration comme une nécessité économique, un apport indispensable, un enrichissement extraordinaire, etc. Voyez ce rapport de la Banque mondiale de novembre 2005, qui encourageait la Russie à ouvrir ses frontières. L’immigration, peut-on lire, serait "l’une des principales conditions d’une croissance économique stable. La population du pays est vieillissante et déclinante… Pour pleinement compenser la dépopulation, un flux annuel d’un million d’immigrants employables serait nécessaire." Et qui trouvait-on alors à la tête de la Banque mondiale ? : Paul Wolfowitz, un ardent sioniste, qui fut aussi l’un des plus fervents partisans de la guerre contre l’Irak en 2003.

Un article du journal Libération du 25 juillet 2005 nous prévenait : "Selon les projections d’Eurostat présentées par Serge Feld, de l’université de Louvain, l’Union européenne perdrait 14 millions d’habitants d’ici à 2030." C’est "une menace que seule la poursuite de l’immigration permettra d’atténuer." Et d’ici 2030, nous rassurait-on, "l’immigration fera gagner 25 millions d’habitants à l’UE." Cet article, intitulé "L’immigration au secours de l’Europe", était signé par un certain Éric Aeschlimann.

Pour tous ces intellectuels juifs, qui nous font l’amabilité de penser à nos retraites, il n’est évidemment pas question que les Européens puissent avoir recours à des politiques natalistes. C’est ce qu’a bien exprimé Daniel Cohn-Bendit : "Une politique nataliste me semble absolument inutile… La famille n’a pas de valeur par elle-même." Et Cohn-Bendit fait la promotion des couples homosexuels : "Ce qui compte beaucoup plus, pour moi, ce sont les relations dans le couple. Quel que soit le sexe des partenaires : un couple homosexuel doit avoir les mêmes droits qu’un couple hétéro­sexuel." (Une Envie de politique, 1998).

L’immigration est une chance

Tout le monde connaît la formule L’immigration,  une chance pour la France, qui est le titre d’un livre de l’ancien ministre Bernard Stasi (1984). Dans Le Figaro du 13 octobre 2004, le directeur de presse Alexandre Adler nous invitait à faire entrer la Turquie dans l’Europe : La Turquie, qui a "des élections libres, une presse libre, des intellectuels qui n’ont rien à envier aux nôtres, des universités admirables ouvertes sur le monde", représente une "chance inespérée… Sachons aujourd’hui déchiffrer ce signe pour assurer la liberté de notre continent demain."

L’un des principaux conseillers de Jacques Chirac, Pierre Lellouche, député de la droite libérale et président de l’Assemblée de l’OTAN, le déclarait sans ambages dans Actualités juives du 23 décembre 2004 : "Parce que la Turquie est un pays musulman, je souhaite qu’elle entre dans l’Union."

L’apologie du métissage

Les intellectuels juifs n’ont de cesse de faire l’apologie du métissage, mais là encore, il faut comprendre qu’il s’agit surtout d’un discours réservé à l’exportation, car les juifs, eux, ont le devoir de ne pas se métisser et de conserver leur identité. "Nous souhaitons le développement des réseaux dans le tissu planétaire, nous appelons au métissage…", écrit le sociologue Edgar Morin (Nahoum), dans Terre-Patrie (1993). "Nous n’avons pas la Terre promise, mais nous avons une aspiration, un vouloir, un mythe, un rêve : réaliser la Terre patrie." (Un nouveau commencement, 1991).

Dans son Dictionnaire du XXIe siècle (1998), Jacques Attali écrit : Il faut "encourager la diversité, partager les richesses… s’ouvrir aux cultures des autres, favoriser tous les métissages, apprendre à penser globalement." C’est ce qui permet à l’histrion médiatique Daniel Cohn-Bendit de déclarer son amour de la France, en mélangeant tout : "Ce qui me plaît en France, c’est son cosmopolitisme. Les Noirs, les Arabes, les Juifs. J’aime la France surtout pour ça." (Juifs et Français, 1979). Pour le “grand public”, cette inlassable propagande planétarienne se vérifie aisément dans la production cinématogra­phique (Voir nos cinq livres sur le sujet).

En 2003, un ancien premier ministre d’origine juive, Laurent Fabius, socialiste et richissime, avait dé­claré : "Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République." Nicolas Sarkozy, dont la mère est née Mallah, avait dit pareil­lement, dans son discours d’investiture au Congrès du parti libéral, le 14 janvier 2007 : "Je veux être le président d’une France qui aura compris que la création sera dans le mélange, dans l’ouver­ture, dans la rencontre, je n’ai pas peur du mot, dans le métissage." Mais lui n’a épousé que des femmes juives.

Un phénomène inéluctable

Les intellectuels juifs entendent aussi nous faire croire qu’il est inutile de tenter de s’opposer à ce phénomène, comme si le destin de l’humanité était déjà tracé par des forces supérieures. Voyez ce que dit Jean “Daniel” (Bensaïd), le patron du Nouvel Observateur, en date du 13 octobre 2005 : "Rien n’arrêtera les mouvements des populations misérables vers un Occident vieux et riche… C’est pourquoi la sagesse, la raison, consiste désormais à faire comme si nous allions recevoir de plus en plus d’émigrés dont il faut préparer l’accueil."

Son “ennemi” politique, Alain Minc, tient le même langage dans La Vengeance des Nations (1990) : L’immigration une « perspective inévitable », dit-il. "L’immigration va augmenter : autant s’y préparer et y préparer les Français au lieu de les laisser fantasmer à partir d’une situation aujourd’hui moins critique qu’ils ne veulent le croire." Dans La Machine égalitaire, publié en 1987, il en parle comme s’il s’agissait d’une révélation biblique. Son chapitre intitulé Les Dix commandements ne laisse pas de doute à cet égard : "Entre une Europe en pleine décadence démographique et les pays surpeuplés du Sud de la Méditerranée, le phénomène de déversoir est inévitable".

Dans son livre Une Envie de politique (1998), Daniel Cohn-Bendit insiste sur la nécessité pour les Européens d’ouvrir grand leurs… frontières. Le modèle que nous propose l’ancien anarchiste Cohn-Bendit est maintenant l’Amérique libérale : "Il faut que l’Europe se pense comme région d’immigration, à la manière des États-Unis". Et Cohn-Bendit ajoute : "Il faut d’abord se dire qu’il y aura toujours un mouvement d’immigration en raison de l’inégalité forte entre les pays industrialisés et les pays en développement du Maghreb ou d’Afrique… Cela vaut pour l’Europe entière."

Notons que dans l’ancien discours marxiste, c’était la « société sans classes » qui devait être "inéluctable". Mais vous l’avez compris, il ne s’agit pas tant ici d’analyses sérieuses que d’un discours de propagande qui consiste à nous retirer l’idée même de nous défendre.

Nous sommes trop "frileux"

En 1982, Albert Memmi écrivait dans son livre sur Le Racisme : En France, "un mépris craintif ou ironique de tout étranger, un quant-à-soi barricadé, une hospitalité quasi-nulle… un chauvinisme toujours renaissant révèlent que la peur agressive d’autrui est toujours latente."

Les Français, décidément, sont des gens antipathiques, mais il est tout de même bon de s’installer chez eux. Dans son livre L’Idéologie française, en 1981, Bernard-Henri Lévy écrivait que les patries, les patois, les traditions… Tout cela n’est qu’un "repli frileux et crispé sur les identités les plus pauvres." Alain Minc nous sermonne lui aussi à sa manière, nous assurant que c’est "l’ignorance qui alimente la xénophobie", et qu’il faut donc "lutter contre le délire xénophobe" et en finir avec cette "paranoïa française". Il faut, dit-il, "rompre avec notre rigidité mentale".

Le mépris du goy

Les intellectuels juifs ont souvent exprimé leur mépris de nos vieilles civilisations. On se souvient du mot de Georges-Marc Benamou dans l’éditorial du premier numéro du mensuel Globe, lancé en 1985 par Pierre Bergé, le richissime patron socialiste d’Yves Saint-Laurent : "Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux." Dans L’Idéologie française (1981), Bernard-Henri Lévy parlait déjà "d’épaisses sottises", au sujet des bourrées et des binious. Les "patries en tout genre et leurs cortèges de vieilleries" le dégoûtent. Guy Konopnicki tient le même genre de propos, quand il parle de "culte du terroir, extase devant les vertus paysannes, philosophie spontanée, bon sens populaire et toutes sortes de vieilleries réactionnaires." (La Place de la nation, 1983).

La houtzpah talmudique

Les intellectuels juifs manifestent régulièrement une certaine inclination à proférer d’énormes contrevérités. On nous dira par exemple que l’immigration n’a pas augmenté, qu’elle n’a jamais été aussi basse, que les races n’existent pas, etc. Cette disposition à prendre les goys pour des demeurés s’appelle la “h’outzpah” (“Chutzpah”, avec la graphie allemande, en raclant la gorge). Écoutez le philosophe marxiste Jacques Derrida nous expliquer qu’il y a "beaucoup plus de place qu’on ne le dit pour accueillir plus d’étrangers… l’immigra­tion n’a pas augmenté, contrairement à ce que l’on affirme." (De quoi demain…, 2001).

En mars 2008, la revue Géo Histoire avait publié un entretien avec le démographe Gérard Noiriel, qui avait pour titre Le fantasme identitaire : "Fort de ses recherches, l’historien peut rappeler que depuis cent cinquante ans, jamais l’immigration n’a été aussi faible en France. En 2007, cela fait plus de trente ans qu’elle n’a pas augmenté de façon significative. Les statistiques produites par l’Ined (Institut national des Études démographiques) le démon­trent : il y a moins d’étrangers aujourd’hui qu’il n’y en avait en 1997."

L’ancien ministre Jack Lang manifeste les mêmes dispositions talmudiques. Le samedi 3 septembre 2005, à l’émission Tout le monde en parle, il répondait à Thierry Ardisson, qui lui posa la question à brûle-pourpoint : "Vous ne trouvez pas qu’il y a trop d’immigrés en France ?" : "Non, répondit Jack Lang, vous savez que la France est le pays qui a le moins d’immigrés en Europe."

Dans le même registre, des scientifiques tels que Roger-Gérard Schwart­zenberg ou Axel Kahn nous assurent que "les races n’existent pas". Et nous venons tous d’Afrique, c’est bien connu ! La palme revient toutefois à l’essayiste Guy Sorman, qui nous affirme, dans son livre En attendant les barbares (1992) : "Ce ne serait pas la présence des étrangers qui susciterait le racisme, mais leur absence : le fantasme de l’immigré serait le fourrier de la violence, beaucoup plus que l’immigré lui-même." Et d’ailleurs, "la France, qui comptait des centaines de dialectes, patois et langues régionalesil y a un siècle, n’était-elle pas alors plus multiculturelle qu’elle ne l’est aujourd’hui ?"

Ces gens-là, c’est évident, ont l’art de se foutre de la gueule du monde. Maintenant, si vous trouvez un juif qui tient un discours à l’opposé de celui-ci, c’est tout simplement qu’il n’est pas juif. Comme le disait Joseph Goebbels, bon connaisseur en la matière : "Ce qui est juif et ce qui ne l’est pas, c’est nous qui en décidons."  Hervé Ryssen

06/06/2013

Du Laos au Vatican

En janvier 2013, tandis que je traversais le Laos (au Nord du Cambodge), j'ai acheté ces bracelets sur un marché de Luang Prabang, une très jolie petite ville, qui témoigne du charme de la colonisation française.

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Ca m'a rappelé la photo que j'ai prise au Vatican, en août 2007, sur le sol d'une des salles de Raphaël.

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20/05/2013

FEMEN : Un bon point pour Joe Lecorbeau

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Sur le site de Joe Lecorbeau :

Les productions Georges SOROS présentent : Les Femen, prostituées du pouvoir, détournant le film « l’Exorciste ».

Les femen sont une bande de prostituées originaire d’Ukraine, mises en scène et en lumière par la presse à bétail, comme en atteste les nombreuses caméras et appareils photos toujours présentes pour couvrir leur actions et en faire des icônes pour une jeunesse abrutie par la télé réalité, en perte de repères identitaires et spirituels.

Des femmes primitives et agressives s’attaquant systématiquement aux résidus de spiritualité qui anime encore une minorité d’Européens, en vociférant des insanités telles des gargouilles hystériques possédées bénéficiant de la complaisance suspecte des institutions qui les gracient à chaque occasions, en dépit des nombreuses infractions constatées (exhibitionnisme, manifestation non autorisée etc…).

Leur rôle est de provoquer l’agacement de leur victime par de viles provocations vulgaires, afin que les médias puissent instrumentaliser les réactions en faisant passer la victime pour le bourreau et vice versa.
Elles prétendent lutter contre les « tyrans », c’est à dire contre tous les dirigeants que le pouvoir impérial judéo-maçonnique a défini comme pas assez obéissant, prétendent lutter contre la marchandisation du corps de la femme (porno, etc…), mais utilisent leur corps nu en public comme un panneau publicitaire faisant la promotion de tout ce qui attrait au libertaire en cherchant a s’émanciper de toute morale, faisant très clairement le jeu du libéralisme consumériste.

Il n’est donc pas bien compliquer de deviner qui financent les locaux, les déplacements, les chambres d’hôtel  les guignoleries, de ces femmes objets.Ces prostituées du mal sont un bon moyen de déstabilisation  de diversion et de divertissement pendant que nos élites oligarchiques apatrides continuent d’anéantir tout ce qui reste de la structure historique, traditionnels et économico-sociale des nations européennes.

 

 »À mesure que diminue la liberté économique et politique, la liberté sexuelle a tendance à s’accroître en compensation. »
Le Meilleur des mondes, Aldous Huxley

15/02/2013

Défense inconditionnelle de l'Iran

Les stars de cinéma en Iran

whatsupiran.com

 

Les juifs du monde entier entendent nous jeter dans une guerre contre l'Iran, après nous avoir entraînés dans des guerres en Irak (1991), contre les nationalistes serbes (en 1999), en Afghanistan (2001), à nouveau en Irak, en 2003, puis, plus récemment, en Libye et en Syrie. 

A chaque fois que vous entendez un journaliste prétendre qu'il est indispensable de faire la guerre à l'Iran, pour le bien de "l'humanité", vérifiez donc voir si vous n'avez pas affaire à un juif. Vous verrez, ça ne rate jamais ! 

Que les juifs fassent leur guerres eux-mêmes ! 

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18/01/2012

Daniel Farhi (ex "Fahri"): encore un rabbin inculpé.

PARIS, 17 jan 2012 (AFP) - Un rabbin influent dans la communauté juive de France, Daniel Farhi, a été placé mardi matin en garde à vue dans les locaux de la Brigade de protection des mineurs de la police judiciaire parisienne, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
Daniel Fahri est entendu par les enquêteurs pour "des agressions sexuelles présumées sur plusieurs jeunes filles", a précisé cette source, confirmant une information de RTL.
Agé de 70 ans, le rabbin Fahri est l'un des fondateurs du Mouvement juif libéral de France.

Il venait d'être décoré de la Légion d'honneur par Nicolah Sarkozih.

Il  est par ailleur le père du rabbin Gabriel Fahri, accusé par la police et les  pompiers de s'être auto-poignardé, en janvier 2003, afin de raconter au JT son "agression  antisémite" (Lire une recension de tous les cas de ce genre, in Le Fanatisme juif).

15/01/2012

Ce sont des Israéliens

Dans le numéro de novembre 2011 du magazine Le Peuple juif (une belle revue de la région marseillaise, toute en couleur), on trouve un entretien avec Michèle Teboul, la présidente du Crif de Marseille (Conseil représentatif des institutions juives de France). Celle-ci déclare :

"Chaque action que nous menons est une pierre apportée à l'édifice communautaire et à la reconnaissance universelle de l'Etat d'Israël".

Il est clair que ces gens-là ne sont pas des Français, mais des Israéliens. Il est donc parfaitement légitime de leur retirer leur carte d'identité française, et, en cas de trouble à l'ordre public, de les expulser vers leur pays.

PS : envoyez-nous les revues juives publiées dans votre région.

14/01/2012

Jacques Attali et son gouvernement mondial

Dès notre premier livre, les Espérances planétariennes, nous avons noté que Jacques Attali était obsédé par le "gouvernement mondial", ce qui est très précisément le projet politique inhérent au judaïsme. Depuis, Jacques Attali, qui sent que le messie est en train de venir (pour la soixante-douzième fois depuis 3000 ans), nous assomme avec cette antienne à la fin de tous ses bouquins.

Voici une petite caricature amusante de cet histrion, qui a le mérite de bien personnifier le projet politique du judaïsme.

 

 

On le dit comme on le pense : Les juifs nous emmerdent !