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21/07/2013

Le judaïsme est un projet politique

Nous avons largement montré, dans différents chapitres de nos livres, que les intellectuels juifs, toutes tendances confondues, encouragent l’immigration de toutes leurs forces, partout où ils sont installés. Leur objectif est de dissoudre les sociétés ethniquement homogènes et de favoriser le métissage, afin de parvenir, à terme, à l’unification du monde et à l’instauration d’un gouvernement mondial.

"Après la mise en place d’institutions continentales européennes, apparaîtra peut-être l’urgente nécessité d’un gouvernement mondial", nous dit Jacques Attali, dans son Dictionnaire du XXIe siècle.

La société multiculturelle et l’affaiblissement du sentiment d’appartenance leur permet aussi de se préserver d’un sursaut nationaliste, dont ils gardent un souvenir cuisant. Les propos à ce sujet sont innombrables. Tous les intellectuels juifs – sans aucune exception – sont ainsi focalisés sur cette question de la société “plurielle” et exercent une “vigilance antiraciste” permanente, par delà leurs divergences politiques.

Dans L’Humanité perdue (1996), le philosophe Alain Finkielkraut explique : "Le risque mortel que fait peser sur le monde le culte de l’appartenance, la segmentation de l’humanité et l’enfermement des individus dans leur race ou dans leur culture ne saurait être définitivement conjuré que par l’instauration des sociétés pluri­ethniques."

Bernard-Henri Lévy tient un discours beaucoup plus explicite qui reflète mieux cette volonté cosmopolite de détruire les nations : "La machine européenne, écrit-il… est venue s’inscrire contre ces nationalismes mystiques et a commencé à les renvoyer au musée des horreurs historiques. Avec la mort de ces nationalismes, les Juifs perdent le plus redoutable de leurs adversaires." (Récidives, 2004). Le philosophe milliardaire s’emp­resse de préciser la nature de cette Europe démocratique, qui ne doit pas, selon lui, être "une nation de plus", mais "un dispositif de nature à travailler, fracturer, pulvériser et, fina­lement, nécroser, les identités et les fixations nationales."

L’immigration comme nécessité

Les intellectuels juifs nous présentent toujours l’immigration comme une nécessité économique, un apport indispensable, un enrichissement extraordinaire, etc. Voyez ce rapport de la Banque mondiale de novembre 2005, qui encourageait la Russie à ouvrir ses frontières. L’immigration, peut-on lire, serait "l’une des principales conditions d’une croissance économique stable. La population du pays est vieillissante et déclinante… Pour pleinement compenser la dépopulation, un flux annuel d’un million d’immigrants employables serait nécessaire." Et qui trouvait-on alors à la tête de la Banque mondiale ? : Paul Wolfowitz, un ardent sioniste, qui fut aussi l’un des plus fervents partisans de la guerre contre l’Irak en 2003.

Un article du journal Libération du 25 juillet 2005 nous prévenait : "Selon les projections d’Eurostat présentées par Serge Feld, de l’université de Louvain, l’Union européenne perdrait 14 millions d’habitants d’ici à 2030." C’est "une menace que seule la poursuite de l’immigration permettra d’atténuer." Et d’ici 2030, nous rassurait-on, "l’immigration fera gagner 25 millions d’habitants à l’UE." Cet article, intitulé "L’immigration au secours de l’Europe", était signé par un certain Éric Aeschlimann.

Pour tous ces intellectuels juifs, qui nous font l’amabilité de penser à nos retraites, il n’est évidemment pas question que les Européens puissent avoir recours à des politiques natalistes. C’est ce qu’a bien exprimé Daniel Cohn-Bendit : "Une politique nataliste me semble absolument inutile… La famille n’a pas de valeur par elle-même." Et Cohn-Bendit fait la promotion des couples homosexuels : "Ce qui compte beaucoup plus, pour moi, ce sont les relations dans le couple. Quel que soit le sexe des partenaires : un couple homosexuel doit avoir les mêmes droits qu’un couple hétéro­sexuel." (Une Envie de politique, 1998).

L’immigration est une chance

Tout le monde connaît la formule L’immigration,  une chance pour la France, qui est le titre d’un livre de l’ancien ministre Bernard Stasi (1984). Dans Le Figaro du 13 octobre 2004, le directeur de presse Alexandre Adler nous invitait à faire entrer la Turquie dans l’Europe : La Turquie, qui a "des élections libres, une presse libre, des intellectuels qui n’ont rien à envier aux nôtres, des universités admirables ouvertes sur le monde", représente une "chance inespérée… Sachons aujourd’hui déchiffrer ce signe pour assurer la liberté de notre continent demain."

L’un des principaux conseillers de Jacques Chirac, Pierre Lellouche, député de la droite libérale et président de l’Assemblée de l’OTAN, le déclarait sans ambages dans Actualités juives du 23 décembre 2004 : "Parce que la Turquie est un pays musulman, je souhaite qu’elle entre dans l’Union."

L’apologie du métissage

Les intellectuels juifs n’ont de cesse de faire l’apologie du métissage, mais là encore, il faut comprendre qu’il s’agit surtout d’un discours réservé à l’exportation, car les juifs, eux, ont le devoir de ne pas se métisser et de conserver leur identité. "Nous souhaitons le développement des réseaux dans le tissu planétaire, nous appelons au métissage…", écrit le sociologue Edgar Morin (Nahoum), dans Terre-Patrie (1993). "Nous n’avons pas la Terre promise, mais nous avons une aspiration, un vouloir, un mythe, un rêve : réaliser la Terre patrie." (Un nouveau commencement, 1991).

Dans son Dictionnaire du XXIe siècle (1998), Jacques Attali écrit : Il faut "encourager la diversité, partager les richesses… s’ouvrir aux cultures des autres, favoriser tous les métissages, apprendre à penser globalement." C’est ce qui permet à l’histrion médiatique Daniel Cohn-Bendit de déclarer son amour de la France, en mélangeant tout : "Ce qui me plaît en France, c’est son cosmopolitisme. Les Noirs, les Arabes, les Juifs. J’aime la France surtout pour ça." (Juifs et Français, 1979). Pour le “grand public”, cette inlassable propagande planétarienne se vérifie aisément dans la production cinématogra­phique (Voir nos cinq livres sur le sujet).

En 2003, un ancien premier ministre d’origine juive, Laurent Fabius, socialiste et richissime, avait dé­claré : "Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République." Nicolas Sarkozy, dont la mère est née Mallah, avait dit pareil­lement, dans son discours d’investiture au Congrès du parti libéral, le 14 janvier 2007 : "Je veux être le président d’une France qui aura compris que la création sera dans le mélange, dans l’ouver­ture, dans la rencontre, je n’ai pas peur du mot, dans le métissage." Mais lui n’a épousé que des femmes juives.

Un phénomène inéluctable

Les intellectuels juifs entendent aussi nous faire croire qu’il est inutile de tenter de s’opposer à ce phénomène, comme si le destin de l’humanité était déjà tracé par des forces supérieures. Voyez ce que dit Jean “Daniel” (Bensaïd), le patron du Nouvel Observateur, en date du 13 octobre 2005 : "Rien n’arrêtera les mouvements des populations misérables vers un Occident vieux et riche… C’est pourquoi la sagesse, la raison, consiste désormais à faire comme si nous allions recevoir de plus en plus d’émigrés dont il faut préparer l’accueil."

Son “ennemi” politique, Alain Minc, tient le même langage dans La Vengeance des Nations (1990) : L’immigration une « perspective inévitable », dit-il. "L’immigration va augmenter : autant s’y préparer et y préparer les Français au lieu de les laisser fantasmer à partir d’une situation aujourd’hui moins critique qu’ils ne veulent le croire." Dans La Machine égalitaire, publié en 1987, il en parle comme s’il s’agissait d’une révélation biblique. Son chapitre intitulé Les Dix commandements ne laisse pas de doute à cet égard : "Entre une Europe en pleine décadence démographique et les pays surpeuplés du Sud de la Méditerranée, le phénomène de déversoir est inévitable".

Dans son livre Une Envie de politique (1998), Daniel Cohn-Bendit insiste sur la nécessité pour les Européens d’ouvrir grand leurs… frontières. Le modèle que nous propose l’ancien anarchiste Cohn-Bendit est maintenant l’Amérique libérale : "Il faut que l’Europe se pense comme région d’immigration, à la manière des États-Unis". Et Cohn-Bendit ajoute : "Il faut d’abord se dire qu’il y aura toujours un mouvement d’immigration en raison de l’inégalité forte entre les pays industrialisés et les pays en développement du Maghreb ou d’Afrique… Cela vaut pour l’Europe entière."

Notons que dans l’ancien discours marxiste, c’était la « société sans classes » qui devait être "inéluctable". Mais vous l’avez compris, il ne s’agit pas tant ici d’analyses sérieuses que d’un discours de propagande qui consiste à nous retirer l’idée même de nous défendre.

Nous sommes trop "frileux"

En 1982, Albert Memmi écrivait dans son livre sur Le Racisme : En France, "un mépris craintif ou ironique de tout étranger, un quant-à-soi barricadé, une hospitalité quasi-nulle… un chauvinisme toujours renaissant révèlent que la peur agressive d’autrui est toujours latente."

Les Français, décidément, sont des gens antipathiques, mais il est tout de même bon de s’installer chez eux. Dans son livre L’Idéologie française, en 1981, Bernard-Henri Lévy écrivait que les patries, les patois, les traditions… Tout cela n’est qu’un "repli frileux et crispé sur les identités les plus pauvres." Alain Minc nous sermonne lui aussi à sa manière, nous assurant que c’est "l’ignorance qui alimente la xénophobie", et qu’il faut donc "lutter contre le délire xénophobe" et en finir avec cette "paranoïa française". Il faut, dit-il, "rompre avec notre rigidité mentale".

Le mépris du goy

Les intellectuels juifs ont souvent exprimé leur mépris de nos vieilles civilisations. On se souvient du mot de Georges-Marc Benamou dans l’éditorial du premier numéro du mensuel Globe, lancé en 1985 par Pierre Bergé, le richissime patron socialiste d’Yves Saint-Laurent : "Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux." Dans L’Idéologie française (1981), Bernard-Henri Lévy parlait déjà "d’épaisses sottises", au sujet des bourrées et des binious. Les "patries en tout genre et leurs cortèges de vieilleries" le dégoûtent. Guy Konopnicki tient le même genre de propos, quand il parle de "culte du terroir, extase devant les vertus paysannes, philosophie spontanée, bon sens populaire et toutes sortes de vieilleries réactionnaires." (La Place de la nation, 1983).

La houtzpah talmudique

Les intellectuels juifs manifestent régulièrement une certaine inclination à proférer d’énormes contrevérités. On nous dira par exemple que l’immigration n’a pas augmenté, qu’elle n’a jamais été aussi basse, que les races n’existent pas, etc. Cette disposition à prendre les goys pour des demeurés s’appelle la “h’outzpah” (“Chutzpah”, avec la graphie allemande, en raclant la gorge). Écoutez le philosophe marxiste Jacques Derrida nous expliquer qu’il y a "beaucoup plus de place qu’on ne le dit pour accueillir plus d’étrangers… l’immigra­tion n’a pas augmenté, contrairement à ce que l’on affirme." (De quoi demain…, 2001).

En mars 2008, la revue Géo Histoire avait publié un entretien avec le démographe Gérard Noiriel, qui avait pour titre Le fantasme identitaire : "Fort de ses recherches, l’historien peut rappeler que depuis cent cinquante ans, jamais l’immigration n’a été aussi faible en France. En 2007, cela fait plus de trente ans qu’elle n’a pas augmenté de façon significative. Les statistiques produites par l’Ined (Institut national des Études démographiques) le démon­trent : il y a moins d’étrangers aujourd’hui qu’il n’y en avait en 1997."

L’ancien ministre Jack Lang manifeste les mêmes dispositions talmudiques. Le samedi 3 septembre 2005, à l’émission Tout le monde en parle, il répondait à Thierry Ardisson, qui lui posa la question à brûle-pourpoint : "Vous ne trouvez pas qu’il y a trop d’immigrés en France ?" : "Non, répondit Jack Lang, vous savez que la France est le pays qui a le moins d’immigrés en Europe."

Dans le même registre, des scientifiques tels que Roger-Gérard Schwart­zenberg ou Axel Kahn nous assurent que "les races n’existent pas". Et nous venons tous d’Afrique, c’est bien connu ! La palme revient toutefois à l’essayiste Guy Sorman, qui nous affirme, dans son livre En attendant les barbares (1992) : "Ce ne serait pas la présence des étrangers qui susciterait le racisme, mais leur absence : le fantasme de l’immigré serait le fourrier de la violence, beaucoup plus que l’immigré lui-même." Et d’ailleurs, "la France, qui comptait des centaines de dialectes, patois et langues régionalesil y a un siècle, n’était-elle pas alors plus multiculturelle qu’elle ne l’est aujourd’hui ?"

Ces gens-là, c’est évident, ont l’art de se foutre de la gueule du monde. Maintenant, si vous trouvez un juif qui tient un discours à l’opposé de celui-ci, c’est tout simplement qu’il n’est pas juif. Comme le disait Joseph Goebbels, bon connaisseur en la matière : "Ce qui est juif et ce qui ne l’est pas, c’est nous qui en décidons."  Hervé Ryssen